Depuis quelques mois, les lutteurs suivent des formations pour avoir une spécialisation professionnelle différente de la lutte. C'est dans cette perspective que le président du mouvement FILS a mis en œuvre cette initiative qui a attribué des diplômes à des lutteurs après leur formation. Pour atteindre ses objectifs, il sollicite l'aide de l'État du Sénégal et a demandé une audience au ministre des Sports. Mais ce dernier n'a toujours pas encore réagi alors que c'est l'État qui devait jouer ce rôle. Se désole t-il.